Et c'est vrai qu'il y a une association souvent qui est faite de se dire si mon projet est sur Youtube, c'est un projet qui est en fait assez faux. On n'accarpe pas à coup de la compétence technique pure directement à construire sur l'open source parce qu'on travaille avec des gens, il y a quand même pas mal de gens qui sont utilisés. Comment je vais prendre un code de la course de la course de l'open source ? Ouf, il y a pas mal de gens qui sont utilisés. Si les personnes ne sont pas forcément sur l'épisode horaire, on va se travailler à des moments avec des gens qui étaient chacun sur leur continent, avec des horaires différents et des cultures aussi différentes. C'est vrai que c'est ça qui est assez intéressant. Aujourd'hui, je suis très content de recevoir Jérôme Grignon pour parler d'un sujet dont on entend souvent parler dans l'IT, mais qui peut toujours rester un peu mystérieux, c'est tout ce qui touche l'open source. Alors, on va en parler dans cette discussion. Jérôme, tu as une grosse expérience du coup dans l'open source. Tu as été contributeur et maintenant d'ailleurs, tu l'es encore sur beaucoup de projets. J'ai hâte qu'on laisse cet échange pour commencer. Est-ce que tu pourrais te présenter et nous parler un peu de toi ? Oui, donc je m'appelle Jérôme. Je suis développeur principalement des hoppers frontaines. Ça fait 6 ans puisque j'ai fait une reconversion. J'ai eu d'autres carrières avant et depuis 6 ans, à la fois du coup, ce rôle de développeur et très rapidement, aussi ce rôle de contributeur et de maintenance de projets open source. On entend souvent parler d'open source. Et souvent, j'ai aussi l'impression qu'il y a beaucoup de confusion entre open source et gratuit, parce que les deux ne sont pas nécessairement liés. Est-ce que, en quelques mots, tu pourrais nous expliquer qu'est-ce que c'est qu'open source ? Oui, c'est vrai qu'il y a plein de confusion au niveau open source. Déjà, l'une des premières confusions, parce que les projets en eux-mêmes, c'est vrai qu'on peut les voir sur une différentes places formes. La plus connue, c'est une hit-up. Et c'est vrai qu'il y a une association souvent qui est faite de se dire si le projet est sur un hit-up, c'est un projet possible. Et en fait, c'est assez faux. La promotion sur l'open source permet pas mal de choses avec ça et ça permet de le faire connaître. Ça resulte d'un entreprise, d'un derrière, il y a des déjeux parce que c'est toute une solution entreprise qui est proposée de manière payante. Mais en tout cas, c'est vrai que c'est la plateforme aujourd'hui de la plaviscité par les projets open source. Ils ont des très bons guides d'ailleurs sur comment à utiliser les projets open source comme maintenant, les projets open source. Mais une hit-up, en soi, n'est pas une plateforme par défaut de projets open source. Sauf que c'est vrai que, selon les premières expériences qu'on a, dès les études, c'est que la hit-up nous a proposées comme outils pour aller mettre dans nos projets, qu'on soit tout seul pour faire des projets en groupes pendant les études. Puis ces projets sont là et ces projets sont publics. Or, fiamme, on va déjà, un projet qui est public, ça ne rend pas open source. Et tous les projets fiamme open source ne sont pas publics. Il faut savoir que dans les conditions d'utilisation de github, fiamme, sur les projets publics, en tout cas, on a deux droits. On a le droit d'élire, c'est ce qui est en public et on peut accéder du coup tout que sous. Et on a le droit d'efforquer. Et en fait, les droits, ça arrête là. Le reste des droits, c'est vraiment les droits réservés à ceux qui ont créé le projet. Mais parce qu'un projet public sur github, on n'a pas le droit de copier les idées. Il a l'intérêt à faire son vœu, de le modifier, tout le terrain qu'on a sur open source. L'idée de l'open source, c'est qu'il y a un déclencheur qui fait que le projet sur github va devenir open source. Il va se faire d'un seul fichier, c'est un litan sur open source. Une litanne sur open source, c'est une licence qui définit les règles d'utilisation du projet. Alors, des fois, c'est très très résumé. La plus connue, c'est l'élection semilité, qui est très très résumé, n'aimait pas tous les éléments. Mais en fait, tous ces licences se basent sur l'ensemble de dix règles qui permettent de régir l'open source. Et en rajoutant cette licence, notre projet maintenant est open source. Alors, on peut pas utiliser n'importe quelle licence, c'est l'issence qu'on appelle open source, c'est l'issence qui sera approuvée par l'OSI. L'OSI, c'est l'open source initiative, et c'est une organisation qui régir de l'open source. Alors, c'est pas non plus grand méritu, c'est-à-dire qu'il ne faut pas aller devant eux pour avoir besoin de dire, tiens, un projet, est-ce qu'il peut être open source ? C'est plutôt une organisation qui s'est mis d'accompagner et de promouvoir l'open source, de définir quelques règles aussi, comme le fait de dire, est-ce que cette licence est open source ou pas. Mais c'est vraiment ce fichier qui va être millé si un projet est open source. Je t'en remercie pour cette précision. Je pense que maintenant, c'est un peu plus clair, parce qu'effectivement, on peut souvent faire cette confusion quand on pense à open source. Et là, c'est avec mon prisme de développeur. On pense souvent à une contribution technique, donc en écrivant du code, en faisant ce genre d'interaction. Maintenant, est-ce que c'est vraiment le seul moyen de contribuer à un projet open source ? Est-ce que c'est uniquement réservé à des profits de développeurs ou comment est-ce qu'on pourrait faire au final pour pouvoir contribuer sur ces différents projets ? C'est vrai que l'open source et cet open source initiative s'est né du logiciel libre. Si on parle du logiciel libre, le logiciel libre, c'est la version la plus libre de ce qu'on peut avoir aujourd'hui en termes de logiciel. C'est ce qui est né au début dans l'idée qu'ils ont 4 piliers, ils ont 4 règles, j'ai connu plus par cœur, mais c'est vraiment dans le... C'est ça qu'on retourne le plus facilement dans la licence la plus connue à Maïti, dont je parlais, où vraiment, c'est de libérer le logiciel en disant que tout le monde peut récupérer votre projet, tout le monde peut le modifier, et on peut même le republier et même le commercer à l'idée derrière. Donc c'est vraiment une ouverture complète. Et en fait, l'open source est arrivée derrière cette initiative pour cadrer un peu, parce que c'est vrai que pour les entreprises, c'est un peu peur aussi de dire que bâtiament, il y a un projet comme ça, mais il commence le projet. Et puis, qu'est-ce qui est un petit peu sous le capot. Et en fait, il y a des règles en tout, c'est à dire que la série supermodère avec l'open source qui permet de réagir pas mal de choses. L'idée quand même en soi, c'est de se dire qu'un projet open source, c'est un projet fiammo communautaire, sur lequel on va pouvoir venir contribuer, venir faire des modifications. Et même si c'est né justement, je ne pourrais pas dire même si c'est né du logiciel, aujourd'hui, il y a des projets qui suivent cette l'ouvance open source, mais fiammo pour lequel les fichiers qui considèrent sa source, ce n'est pas du code. En fait, c'est vraiment pour le servir de cette philosophie-là, servir du côté versioning de Git pour les projets communautaires. Comme exemple, on a un projet français, on a conférence à agenda de Renivage, qui est un renny, du coup, qui liste plein d'événements qui se passent au début en France, aujourd'hui dans le monde entier. Et en particulier, quand au lieu, ce qu'on appelle les CSP, les Call for Papers, des périodes pendant laquelle les organisateurs de conférence ouvrent aux propositions de talk, quand les gens peuvent proposer des talks avant de rendre des sections. Et du coup, c'était juste un fichier ennemi. On a le cas avec le projet Osom, qui est décliné en Osom, Osom JavaScript, Osom Python, qui sont des listes du ressource, ça peut être un lien vers un cours, un lien vers un article, un lien vers n'importe quoi. Et le projet Osom, c'est un des projets les plus connus fiammo sur GitHub. C'est un projet qui a 300 000 stars. Si on regarde la typologie du projet, qu'on peut avoir des projets, on essaie de voir qu'il n'y a même pas de code. Il n'y a pas besoin d'être bon sur une technologie en particulier. On a aussi un quelque part qui dirige, c'est-à-dire qui sépare la ressource sur un type de technologie, mais on a Conférence Saint-Jean-Bat, où il y a vraiment six mots que, dedans, un événement qui va arriver sur Python et qu'on ne fait pas de Python, on peut quand même contribuer. Donc ça, c'est déjà la séparation avec les projets qui ne sont pas du code. Et puis, sur le fait de, est-ce que je dois faire du technique, est-ce que je dois savoir coder pour contribuer un projet ? Ben, même pour un projet en lui-même, il y a toute une partie où ce n'est pas du code directement. L'exemple le plus con cas, c'est la documentation. Et c'est vrai que la documentation va demander à y comprendre le code, mais n'a pas besoin d'avoir l'expertise nécessaire à la rédaction du code en lui-même. Aujourd'hui, sur la documentation réelle, ou via des articles, on peut, de manière quand même, assez facilité, créer des articles sur une technologie, sans forcément être capable de reproduire la technologie à partir de zéro. Si on prend des frameworks, qui soient frontalis, qui soient backend, on peut écrire un article, sans forcément être capable de recoder à partir de zéro le framework. Ou même un petit peu d'aller lire le code qu'il y a dessous, sans forcément le comprendre complètement. Et la documentation est sur la pays publique. Il n'y a pas du coup, sur tout ce qu'il y a derrière, sur le capot. Il y a possibilité de contribuer. Moi, c'était l'occasion, par exemple. Ma plus grosse contribution de documentation, c'était sur SQLite. SQLite, c'est un projet, maintenant, qui n'est plus maintenu. C'est un projet de génération statique d'applications anglaires. C'est une libre-rérie qui permet de générer des applications statiques anglaires. Aujourd'hui, on n'a plus besoin, parce qu'on a des choses plus récentes qui permettent de faire ça. Mais c'est un projet qui a vécu, qui a eu une belle histoire. Et j'ai découvert qu'on y fait encore en alpha. Et en fait, j'ai repris toute la documentation, et j'ai refaire de la correction de toute la documentation comme ça. Il y a moyen d'aller sur des projets sans forcément se dire, il faut que je fasse du code. Et non seulement il n'y a pas besoin de se dire qu'il faut que je sois forcément du code, pour que ce soit une contribution. Il n'y a pas forcément besoin que ce soit un commit derrière, qu'il me perd derrière pour que c'est une contribution. Une contribution, en fait, c'est quoi ? C'est qui m'a aidé à la maintenance d'un projet, ou à s'apprendre à faire un article qui fait la promotion sur un code de la bonne sorte. C'est l'aider. Là, on est dans le cas où, avec ce podcast, on est dans une démarche où on va promouvoir des choses, on va parler de choses, et on développe des compétences supplémentaires. C'est-à-dire que là, le fait de choisir la plateforme de podcast, d'aller faire l'édition d'ailleurs, ça a développé des compétences qu'on n'a pas en tour des développeurs. Et un projet de production, il y a besoin de ça aussi, il y a besoin de se faire du marketing derrière, parce que si en fait, ces projets ne vont pas connaître, c'est facile quand c'est porté déjà par Ketien, qui a une communauté qui est assez connue. Mais des fois, il y a des projets très bien, qui sont appelés devenue. Il y en a même des fois qui décollent, parce qu'il y a quelqu'un de connu qui dévoue un projet. Et puis ça faisait des semaines et des mois, il y avait deux, trois potes qui avaient mis un like sur son projet. Et tout un coup, il en a des milliers et des milliers, parce que ça se connaît. Il y a ce côté-là qui est très important, parce qu'on peut aller contribuer sans forcément avoir cette pesquette de codeur qui se part d'aller vraiment dans le code. Je ne sais plus quel projet c'était, mais on avait eu le cas comme ça. Alors j'ai pu le nom de celui qui est Alcanim, c'est le chaîne YouTube, la chaîne de Firesheep. Du coup, il a été connu dans la communauté. Alors à la Washington, comme ils ont l'regular, mais maintenant, du coup, ça fait pas mal de choses. Il avait parlé comme ça un jour d'un projet, et du coup, le projet a complètement décollé. C'est quelqu'un aujourd'hui, si on n'importe quel vidéo, il fait un jour des centaines de milliers de vues. Et il le mérite, c'est très sympa. Mais qui fait que du coup, il a ce pouvoir d'influence. Et ce pouvoir d'influence, qu'on convoie un petit peu partout. On sort en du code marquette, je ne sais plus son nom, qui est très connu dans les tech reviews. Au-delà du code, un téléphone, si c'est n'importe quoi. Et qui aujourd'hui est considéré comme un prévros impact sur la vie d'un projet. Il avait fait la review d'une voiture avec tout le système de electronics qu'il y a dedans. Et en fait, a priori, sa revue négative aura fait chuter vraiment la bourse de manière énorme sur l'entreprise qui est pour essayer de voiture. Et même récemment, il l'a fait sur une sorte de petit... L'entreprise qui a afforcé un petit gadget que tu mets là, qui fait à la fois caméra, qui fait reconnaissance de la technique. L'idée, c'est de se dire que ça va un peu plus loin que le côté de la interface qu'on avait avec une montre connectée qui se connecte avec le téléphone. Et du coup, tu as des informations dessus. Et puis là, ça irait encore plus loin. Du coup, avec ça, tu peux demander des trucs à l'oral. Et c'est un petit peu ton Google Home portatif. Et finalement, en fait, qui, pour beaucoup de situations, ne marchaient pas pour baisser ses coups d'étendissants. Aujourd'hui, on connaît plus le projet à cause de cette review que le projet de la recherche. Mais c'est pour ça que ça donne le côté de marketing, le côté création d'articles. En fait, c'est des constructions directives. Des fois, ça peut paraître un peu moins valorisant que de se dire que souvent, le côté ultime de la contribution, c'est-à-dire que j'ai fait un commit, j'ai fait une PR, et puis je suis enlé des contrées de sales. Mais du coup, il y a plein d'autres choses à côté. Donc, à côté où on sort vraiment, on n'est même pas lié au projet sur GitHub, sur GitHub aussi, sur GitHub, on a des surdveux plateformes, on a des projets un peu de source. C'est ça que sur GitHub, on tente de le plus parler. Mais il y a ça. Et puis, même si on va sur GitHub, moi, ça m'arrive de temps en temps sur des projets que je connais, où je trèfle un peu, parce que j'aime bien voir l'activité, des fois d'aller dans les issues, beaucoup dans les PR et d'aller s'y aider, les mainteneurs, donc les PR, c'est de faire un petit revivre rapide, mettre quelques commentaires, pareil dans les issues. Parce que les issues, l'obénaitif normalement en général, d'une issue, c'est de permettre de suivre ce qu'on a besoin pour le moment. Comment formuler ça exactement ? L'objectif des issues, c'est très lié au code. L'objectif, c'est de se dire qu'il y a un bug où il y a de typologies. En général, c'est je déclarer un bug où je veux demander l'ajout d'une nouvelle fonctionnalité. Mais ça, ils se sont utilisés aussi des fois pour du support. La majorité des questions de support, c'est que les gens ne problématiques, mais la problématique, c'est pas parce que c'est un bug, parce que les gens ne savent pas qui est correctement. Et que ce fait que dessus, c'est un typiquement le genre de choses, des issues ou n'importe qui qui a un peu de connaissance avec le framework, avec la hiberie, peut aller contribuer en répondant. Et que ce fait que quand le mainteneur est trop victemps pour les répondre, il y a déjà une réponse, il n'a pas besoin de la master-dusion. Parce que c'est une des grosses problématiques des projets à peu de source. C'est qu'on a un gros effet en tournoi, on a énormément de consommateurs du projet, et on a très peu de contribueur et encore moins de mainteneurs. Et ce fait que, si l'effet en tournoi, il y a plein de sollicitation qui arrive, et puis on a un temps disponible de la part du mainteneur qui est beaucoup plus faible. Donc c'est compliqué à ce niveau-là. C'est compliqué pourquoi ? Parce que si la majorité des projets à peu de source, c'est réaliser et s'émanu sur le temps libre des personnes. Donc, il fait que ça vient en concurrence avec tout le temps personnel, toutes les activités, la vie de sa vie, et tout le temps. Et il fait que des fois, c'est les vraies problématiques pour des projets à peu une source, des projets à peu une source qui peuvent mourir à cause de ça, parce que les gens n'en marrent et ils arrêtent. Un exemple de projet qui s'est arrêté justement avec la problématique de disponibilité d'un mainteneur, donc sur son temps personnel, c'est Faker. Faker, c'est une épargée qui, comme ça, reparaît faire pas grand chose, en tout cas avoir une théâtre limitée pour un produit, pour une application. C'est quoi ? C'est une épargée qui propose des fonctions qui font du random sur dix centimes de données, du random sur des noms, sur des villes, sur autant de données qu'on peut imaginer. C'est des choses qu'on ne va pas utiliser en production. C'est un objectif, ça sert à qu'on mette des valeurs randoms en production. On peut avoir quelqu'un, mais ça sert. Mais là où c'est super pratique, c'est qu'on va avoir des moques pour des tests. Et donc, finalement, le projet est assez simple. C'est plein de petites fonctions utilisées qui exposent une liste de données et sur cette liste, on fait un random. On peut faire pas mal de petits réglages pour finir ça. Donc, soit c'est super simple. Son succès, c'est que sa simplicité fait qu'on n'a pas à redevelopper nous-mêmes, et puis on a ça. Et ça, c'est un projet qui est énormément utilisé, énormément d'applications, et qui fait qu'au début, on a des randoms sur deux, trois valeurs, et puis on ne va avoir un peu plus, et puis on va avoir sur... Aujourd'hui, on a sur des chevaux, on a sur des chapeaux, et puis on nous éplie. Et donc, le problème, c'est que le maître a de plus en plus de travail, de maintenant, derrière. Et comme je disais, ce n'est pas quelque chose qu'on trouve en production. Donc, s'il est déjà le financement des projets, PogonSource, c'est une vraie complexité, puisque c'est vrai qu'on est dans un écosystème aujourd'hui, tout est gratuit, dès qu'on veut créer une application, en tout cas, sur vraiment le corps de nos applications. En plus, quand on est sur les batailles qui n'est pas utile en production, c'est déjà compliqué, à des fois pour certains projets, de dire qu'on va mettre des tests. Alors qu'en plus, il faudrait dire, non seulement on va mettre des tests, mais en plus, il faudrait payer pour avoir une bataille pour faire des tests. Et donc, en fait, le mainteneur, on a des marres, parce qu'en fait, il y a plein de sollicitation, vu que ça a eu cet effet en tout droit. Et en plus, il n'y avait pas de reconnaissance ou de contrepartie sur laquelle il pouvait trouver la motivation, parce que c'est vrai qu'au besoin d'un moment, quand on s'est surchargé, justement, ça avait en compliance avec d'autres choses. Entre passer deux heures, il y a un film avec sa compagne, plutôt que rajouter une vis de chameau. Voilà, surtout que je pense qu'il avait atteint, on pourrait dire, parce que ce que je fais pour la goire, c'est sympa, je pense qu'il avait atteint quelque part un plafond vert, au niveau là où le projet était de la suffisamment connu. On peut voir cette motivation aussi, qui est un église, il voit trucs, mais au bout d'un moment, je pense qu'il a atteint ce plafond vert. Donc en fait, ce qu'il a fait, c'est qu'il a pierre à ses projets, il a fait une organisation complètement corrompue, qui fait qu'il y a eu des milliers de projets, des milliers de projets qui ont été fonctionnés. Du coup, la dernière version, il y a deux ans, et il y a quand même aujourd'hui, quand même encore 2 millions de tes changements par semaine. Après, on peut en venir justement sur comment mesurer le succès d'un projet open source. Donc ça, ici, on a des projets open source qui sont publiement disponibles sur un registri comme NPN, comme d'autres. Ça serait qu'on voit les nombres de tes changements. Donc après, il faut faire attention, c'est pour ça que je basque un peu dessus, c'est que si on a des CIA, si on tourne tous les pairs, en fait, il suffit qu'un projet, ça se dit perdre en un journée, c'est comme s'il a été changé 10 fois le projet, alors souciez un peu. En fait, il y a le derrière, mais en fait, on ne peut pas voir, faut pas dire que là, sur 2 millions de tes changements par semaine, c'est 2 millions de utilisateurs. Je n'en ai pas, c'est assez fou. Et donc, on a ça qui peut aider. Donc si on est disponible sur un registri, on a une Legit Upstart, qui sont une sorte de like qu'on peut mettre sur un projet, qui encore une fois, dépend de la façon à faire le marketing de nos projets. Ça va monter très rapidement si on a beau marketing dessus. Sinon, c'est quelque chose qui peut prendre du temps et qui dépend fiamment d'une utilité publique qui n'est pas forcément celle de l'utilité en production. Je prends l'exemple du projet au SOM, on a 300 000. C'est un beau projet, mais ça est que, du coup, c'est une petite petite qui fait un niveau différent qu'une librairie ou un frein mort qu'on va utiliser en production. Donc, ça est que c'est quelque chose ou c'est compliqué au niveau des stars de comparer entre deux projets parce que ça serait l'interaction. Et puis le projet, c'est ce qui est important, et je pense que c'est sur des bonnes pratiques. Autant qu'en tout cas maintenant, c'est aujourd'hui qu'il y a quelqu'un qui fait que je vais te maintenir d'un projet de source qui a une bonne pratique, on peut avoir, on ne pourra en parler d'autre, ou en tout cas une qui nous vient à l'excercer justement. Ce qu'il faut faire attention, c'est qu'il faut bien définir le scope du projet. On a l'espect communautaire où les gens peuvent venir contribuer, proposer des idées. Il ne faut pas faire du coup du projet un monstre en disant qu'il y a quelqu'un à genoux, il veut que je fasse quelque chose de suite, il faut que je fasse non. Il ne faut pas qu'on arrive à quelque chose du coup qui commence à avoir du coup, à rajouter un cinquième pâtre, un cheval parce qu'il y a un litien, si il y a le cinquième pâtre, ça pourrait être cool, vis-à-vis. En fait, il faut faire attention à ça et s'assurer qu'il y a bon le scope qu'on a pris au projet, il reste pour le consistant. Qui t'a dit un nom aux gens, il ne faut pas dire non, qu'il t'aie dit que si je viens vous demander quelque chose en disant que tu vas pouvoir ajouter ce projet, il ne faut pas oublier que, au final, c'est vous le mainteneur. Donc, si il y a quelque chose qui ne va pas, c'est votre sensabilité de corriger aussi derrière. Ce qui veut dire que, en fait, ça libère peut-être un peu le pour aussi des contributions, c'est vrai qu'il se pose des questions, mais si demain je viens faire une contribution sur un projet, j'ajoute une fonctionnalité, elle est rajoutée, si demain la fonctionnalité pète, qu'est-ce qui se passe ? Ce n'est pas la responsabilité du contribut, le contribut, il a fait une contribution. On ne va pas le rappeler à deux heures du matin pour faire avec Voko, il y a une libérité, un épente, qui a une nervillité, il faudrait que tu mettrais l'avant les deux branches du projet pour que ça marche. Donc, maintenant, c'est le mainteneur qui a cette responsabilité. Donc, il fait que, plus large le niveau, pour le mainteneur d'un projet, faire attention aussi à la forme qui est donnée, au limite, qui va avoir sur le projet. Si je comprends bien le maintenance, même s'il va contribuer directement sur son projet, il va aussi avoir un rôle de chef d'orchestre et sa responsabilité, ça va aussi être de porter la vision du projet pour s'assurer qu'il implémente les bons comportements, les bonnes fonctionnalités pour que derrière le projet aille sur les bons rails. J'imagine qu'à un moment, c'est peut-être une situation à laquelle toi t'as déjà été confronté puisque t'es porteur quand t'es maintenance de la vision de ton projet, comment ça se passe pour passer le flambeau à quelqu'un et pour que tu devais lui aussi maintenir de ce projet à ta place ? En effet, c'est vrai qu'il y a énormément de projets qui sont créés avec tout seul qui a une idée dans son coin, qui fait que malheureusement, c'est vrai qu'il y a beaucoup de projets aujourd'hui qui sont morts, des projets qui sont morts et qui ont deux problématiques, après on a dit que c'est qui, ils sont morts et la problématique, c'est que là, on est toujours en train puisque c'est le subjet du podcast de pareille d'open source, sauf que beaucoup de ces projets ne sont pas open source et le pire c'est que certains maintenance pense que leurs projets sont open source, mais il y a ce problématique de édition sur open source et on en trouve assez facilement des projets comme ça qui sont disponibles sur un plan de comprennée d'arrivée, édition sur l'open, le code des publics sur guide-up, des projets en fait n'est pas open source. Au niveau des doigts, qu'est-ce qui se passe ? En effet, côté GitHub, on a les doigts liés aux règles d'utilisation de GitHub, donc on peut regarder le projet un peu le forquer, ça sert à faire un peu le forquer, mais tu peux rien faire d'autre avec un. Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup d'histoires devant le tribunal de projet d'addit-up qui est un terme modifié, mais potentiellement, si il y a un logic business qui est par, il peut en se faire un peu là, même si pour ce cas je serais autant avoir le projet privé plutôt que le projet public. Et puis, deuxième chose, ça aurait qui pourrait indonner à l'impression que le projet est open source, si tu en fait appartérément au public, sur un registre public qui en tout cas sur NPM, en surregistre public, son projet, ça rend pas open source. Dans les règles d'utilisation des NPM, comme il est public, tout le monde peut aller le récupérer, mais il n'est pas open source. À chaque fois, c'est une histoire de règles d'utilisation des plateformes qu'on veut utiliser. Et donc, s'il ne se passe que dans seulement les publics de maintenant, en en général, en plus dans ces situations-là, c'est assez compliqué de les contacter quand il y a un moyen de se les contacter. Et comme le projet, en fait, le projet quelque part est à la fois visible, enfin son code source est visible, on n'a pas le droit de l'utiliser. Donc, au fait, si on voulait refaire quelque chose, on va faire à partir de zéro. Et qui est dommage à un niveau, c'est que la force d'un projet open source, et ce qui peut motiver un projet open source, c'est même des fois pour l'entreprise, l'entreprise c'est un morceau de code qui pourrait intéresser notre personne, et si je le porte sur 7, il y a pas mal d'histoires comme ça, c'est à dire, j'ai l'open source. L'avantage de l'open source, c'est qu'en fait, les requêtes qu'on va avoir de la communauté de ceux qui utilisent pour aller l'améliorer peuvent nous servir aussi derrière. En fait, au lieu d'avoir un cas d'utilisation, on a 10 000. Alors, ça va pas forcément dire qu'on va courir à 10 000 parce que justement, faire attention à ce cas. Mais on peut avoir du coup des cas plus intéressants. Moi, je suis maintenant d'un projet qui s'appelle Edit Inplace, qui est une organisation en génie. C'est juste une brique technique qui permet de faire un switch entre vue d'un champ formulaire et juste un texte qui correspond à la valeur du uniforme. C'est un projet sur lequel j'ai quasiment clébré pour en gulare. J'ai une demande récemment pour le support du SSR parce qu'en effet, j'utilise des appellies du navigateur dans l'embodilier et quand on les sert, ça marche pas. Et du coup, la juge de ce nouveau cas est qu'il était très intéressant. C'est vrai que le SSR, en partie, d'angulards, c'est pas quelque chose qu'on utilise encore très souvent. Et donc là, il y a un vrai cas. Il s'y arrive donc beaucoup de librairies, je pense qu'on a ce cas-là, où des fois, on a des appellies du navigateur qui sont utilisées. On n'a pas ce support nécessaire qui est pensé par un parmisé. Et donc oui, on peut avoir du coup cette multiplicité qui se fait et qui fait que c'est là que c'est intéressant de coûter le support de sourcils et des projets. Et qui fait que là, on est obligé de reprendre à zéro tout le travail si on veut le faire. Donc c'est vrai que c'est assez complexe et puis on ne peut pas contacter la personne. Donc, et ma raison, c'est la vie de beaucoup de projets à plein de choses qui meurent au gouvernement parce que les gens arrêtent quelque part et comprennent-ils à plein de niveaux, parce que la majorité des projets sont faits sur le temps libre. Les gens n'ont plus forcément le temps, les gens n'ont plus la motivation. Et des fois, ça répondait à un besoin qui n'a pas eu le temps. Et ça fait que quand il n'a plus besoin d'utiliser son projet, continuer à le maintenir, quand on a deux priorités, ça arrive très enceinte. Ok. Je comprends. Et c'est vrai qu'en fait, ça me semble compréhensible. C'est quelque chose qui peut facilement te prendre du temps. C'est du temps que tu dois généralement passer sur ton temps perso. Donc du coup, ça peut facilement arriver qu'effectivement, il n'y a été plus de ressources disponibles. Il me semble qu'il y a quelques années, j'ai entendu parler d'un développeur qui avait réussi à dégager du temps par son entreprise pour pouvoir travailler sur des projets open source. Effectivement, ça pourrait être une solution parce que ça permet tout en fait de le faire sur ton temps de travail. Est-ce que tu sais si cette pratique, c'est quelque chose qui est assez courant ou est-ce que c'est plus de l'ordre de l'exception ? Alors ça peut arriver déjà, forcément quand les entreprises décident d'open source leurs projets, forcément, elles ont besoin. Donc finalement, quelque part, c'est une transformation du temps du travail. C'est quelque chose qui est à la fois professionnel et communautaire. C'est là où, général, ça marche mieux parce qu'on sait qu'on a besoin du projet. Donc de toute façon, il faut maintenir, il n'y a pas de choix. Après, quand c'est vraiment un projet qui sort des besoins entreprise, c'est vrai que c'est aussi compliqué, compliqué. Ça m'est arrivé à un moment dans ma carrière d'avoir deux jours libres par mois, mais en général, c'est très très rare. Il faut que l'entreprise arrive à y trouver son compte, qu'il faut qu'elle soit dans cette démarche là parce que c'est vrai que, comme je disais aujourd'hui, c'est vrai que la même, beaucoup d'idées avec qui sont gratuites, on a beaucoup de frameworks qui sont gratuites, on a beaucoup de delivery qui sont gratuites. Aujourd'hui, je pense que si il fallait que à l'entrée, dès qu'on veut faire un nouveau projet, sortir des liais pour utiliser des technologies, ça ne marcherait pas. En fait, je pense que tu soulèves un point intéressant ici, c'est qu'effectivement, puisque les projets sont gratuits, c'est beaucoup plus simple pour les adopter au sein des différentes entreprises. Est-ce qu'il existe des modèles de rémunération pour cette ProLopen Source, peut-être pour pouvoir trouver plus facilement des personnes qui vont contribuer, qui vont investir du temps pour faire évoluer ces projets ? Alors la première option qui me viendra en tête, ça serait de mettre en place du support que tu pourrais facturer, mais est-ce que tu aurais connaissance peut-être d'autres modèles de rémunération qui seraient mis en place et qui seraient fréquents de voir sur les différents projets ? Alors, le premier niveau qu'on peut trouver, c'est du support. C'est pareil, si on fait une petite livrée dans un coin, en général, on ne va pas trouver de besoin de support, les gens vont utiliser, si ça ne marche pas, ils vont poser une question. On n'a pas un poids suffisant ou un support sous forme de, c'est un travail du consultant, une idée. Ce qu'on appelle support, c'est ça, c'est de se dire, je vais employer un mainteneur pour mettre en place ou pour m'accompagner dans des problématiques avec l'utilisation du projet. Donc forcément, il faut que ce soit un minimum conséquent. C'est quand même le modèle qu'on a, par exemple, avec NestJS, qu'a framework Node qui a ce modèle-là, où ils font du support payant. Ils ont évolué aujourd'hui, comme le fait d'ailleurs NGRX, en proposant des formations payantes. De manière différente, NGRX le fait sous forme de workshop, vraiment inquiétie. NestJS, un format pré-enregistré, un peu comme si on a acheté un cours UDMI. Donc il y a ce format-là. C'est vrai que c'est les formats les plus courants, mais c'est vrai que c'est ça n'a de sens, en tout cas, ça a de sens. Ce n'est rentable que si, on est sur des projets qui sont très connus, qui ont vraiment du coup quelque part une complicité qui fait que c'est intéressant pour les gens d'investir de l'argent, sous forme de support sur le cours, pour maintenir ce projet. Ça, c'est la démarche, vraiment marketing professionnelle où là on propose un service directement. On a une dernière étape où c'est quand le projet Open Source a aussi, les projets de Open Source qui sont disponibles aussi en version SaaS. On a des exemples avec Superbase. Pas exemple, Superbase, c'est une alternative Open Source à Firebase. Firebase, Firebase et Superbase, c'est quoi ? Les projets, c'est d'avoir un base, un bac-anastasis service. Via API, justement, on va communiquer avec un serveur et surtout une base de données. Un peu de plier du de la gem stack, de dire que ça ne fonctionne plus avec API. On est en serveur less, on a plus ce serveur en tout cas qu'on maintient nous-même. C'est ce que propose Superbase, c'est-à-dire qu'en fait, ils sont toutes éclatées en termes de l'Open Source et ils ont quand même une version de l'EOS, l'idée comme l'Open Source, c'est qu'on puisse faire du self hosting de toute cette solution avec le serveur et la base de données. Et puis, eux le proposent aussi avec un palier gratuit et des paliers payants pour se financer derrière. Ok, donc en fait c'est possible et t'as 10 forums modèles qui sont en place. Par contre, ce que je comprends, c'est que si tu veux vraiment faire ça pour des raisons financières, alors c'est possible, mais ça va demander quand même plus d'efforts et que ton projet ait déjà un certain poids, qui soit déjà adopté par pas mal de personnes, au final, qu'il soit éprouvé et qu'il soit reconnu vraiment comme utile, efficace, performant, pour que tu puisses vraiment le commercialiser en fait. Oui, c'est compliqué. Alors il y a un autre moyen aussi d'être financé, c'est qu'il y a la participation de communautaires. On a github source, on a... Alors il y en a qui utilisent github source parce que c'est lié directement à un github, mais on pourra avoir un lien cochi, il y a rien vers n'importe quelle solution pour récupérer du coup de l'argent d'un particulier. Donc c'est des choses qui marchent plus ou moins bien. Alors c'est pareil, c'est que du coup c'est lié à la notorité du projet. Les projets qui sont très connus vont facilement récupérer l'argent et je pense que si ils ne sont pas très connus, on passe directement à l'état très compliqué puisque le côté connu c'est la reconnaissance de ce que nous a porté, du coup, l'outil et on a réellis le tour côté, c'est coeur, il utile mais pas au point de dire, tiens je vais donner de l'argent. Donc c'est vrai qu'on a cette possibilité. Et alors de dire, je vais faire de l'open source pour gagner de l'argent, c'est possible de partir de ça et c'est vrai que quand on sait qu'on va faire un gros projet, je pense qu'il faut avoir ça en tête au début parce que sinon ça va tenter. Je pense que je ne vais pas prétendre savoir comment ils ont construit leur projet mais c'est vraiment quelque chose qui est conséquent, qui est l'un de nos connaissances. Il y a plein d'opinions derrière, à plein de l'eau. C'est pas juste un petit projet, un petit pet projet, un petit site projet. Donc il fallait pas mal de personnes derrière et des personnes qui sont à temple. Donc ces personnes-là, il faut les payer. Donc je pense que ça faisait partie dès le début du business plan de dire, on va faire une version, on va proposer, il y a une version gratuite qui est très, très avantageuse. Si vous avez besoin de faire du serverless, c'est génial et la version cracule est excellente. Et puis on arrive le premier palier à 25 euros qui ne bloque pas mal de choses. Donc on a parti au object storage qui vient intéressant avec 100 gigas. Et puis après on est en version enterprise, là il faut aller voir les commerciaux. Mais sur des projets comme ça, je pense que si on ne veut pas qu'ils meurent rapidement, on a besoin d'aller prévoir quand même, au moins d'une façon de leur rendre viable. Après, si on prend l'exemple de l'ESGIS, si on commençait, il n'y avait rien. Enfin du coup, c'est un projet vraiment communautaire qui n'avait pas de business plan derrière. Mais si on dit je veux faire un projet d'un source pour gagner l'argent, c'est possible. Mais ce n'est pas forcément simple. Voilà, c'est le meilleur projet. Je sais que la dernière fois, quand on avait échangé Tui2, je me souviens d'apporter un autre élément que je trouvais intéressant et honnêtement que je n'avais pas du tout eu en tête. Alors là, plus d'un côté un peu plus technique avec un prisme de développeur, on va dire. Moi ce que je m'étais dit, c'est que pour pouvoir contribuer à l'open source, enfin au final pour pouvoir contribuer sur ces projets, il fallait quand même déjà avoir un certain niveau technique et apporter une certaine expérience, une certaine expertise justement pour que tu puisses apporter de la valeur. Tu m'avais apporté un élément, en fait, une façon de penser qui était intéressante, c'est que tu peux aussi te servir de ses contributions, tout simplement pour pouvoir progresser dans un but d'apprentissage. Par exemple, pour pouvoir, je ne sais pas, y s'est-ce contribué à un projet sur une technique que tu maîtrises pas forcément ou sur quelque chose que toi tu as envie de creuser pour pouvoir monter en compétence et au final que le fait de contribuer, et bien on pouvait aussi s'inserver directement dans une démarche d'apprentissage en fait. Il y a plein de moyens qui peuvent mobiliser à devenir contre le coeur, on parlait de l'argent, alors qui peut marcher mais ça reste assez rare, au niveau des vrais réussites sur le gain qui permet en tout cas d'en vivre, c'est une minorité à une personne qui vive vraiment une bonne chance. Mais du coup il y a plein de motivation qui peut être complètement différente. Et par une mise ces motivations, jusqu'à moi souvent qui m'alime, ça veut dire que je vais me former sur une technologie, c'était un des premiers moyens, une des premières motivations de quoi faire l'open source, j'avais envie de me former assez près, et puis il y avait des projets, ou finalement il y a des issues qui disent qu'on veut ajouter ça à l'express en projet. Il se dit, pourquoi pas, ça permet de délai, et ça permet de se confronter aussi à des vrais projets, enfin des projets qui vont en production, ils vont pas en production, on va en emmener des applications en production, mais ça va être une réhériaire, ça va être différentes choses, donc c'est quand même de la reproduction, et ça permet, à la fiamme, plutôt qu'à découvrir cette technologie, je prends les ordres de saipresse comme solution de test-into-en, plutôt que de me dire, je vais faire un petit yellow ward chez moi et puis je vais tester si yellow ward, ça s'appuie même sur un écran, j'ai des vrais projets sur lesquels je peux tester, et des fois qui permettent d'aller sur des compilations d'incomplicité assez intéressantes, donc c'est vrai que c'est l'occasion de dire, je contribue, mais je mets le possible moi-même, si vraiment, dans cette contribution. Il n'y a pas que la port que j'apporte sur le projet, il y a souvent ce que je vais gagner, et donc ça permet d'aller monter en compétences, et de découvrir pas mal de choses, donc c'est vrai que c'est intéressant sur ce côté-là. Ça permet vraiment de sortir du historien un peu basi, d'aller plus loin dans la démarche. Ok, et du coup en fait, c'est vrai que c'est très intéressant, parce que comme ça, tu peux être confronté, en fait, à plein de cas d'usages différents, avec du coup des niveaux de complexité aussi qui peuvent être intéressants, et que tu ne serais pas forcément un étoile à rencontrer sur tes propres projets perso ou autres, et donc ça t'amène quand même une certaine diversité sur les différentes interventions que tu peux avoir. Et comme tu disais, puisque tu as différents types de contributions, au final, que ce soit technique ou non, ça te permet vraiment de pouvoir progresser, et vraiment de pouvoir découvrir différents contextes, différents cas d'usages, ce qui peut te permettre de progresser rapidement, parce que que ce soit sur une techno toi que tu as l'habitude d'utiliser, ou peut-être même si jamais tu veux découvrir une nouvelle techno, et ça te permet d'avoir autre chose qu'un tout de liste classique, ou d'amener une certaine complexité, et une certaine diversité en fait pour ton apprentissage. Alors après, il faut aussi faire le trieur. C'est pas simple de dire comment je suis à ma première contribution, où je trouve, c'est en faire même un focus sur le côté contribution au code, parce qu'il y a quand même pas mal de gens qui sont utilisés, comment je suis à ma première contribution, ou je trouve le projet. Le projet, moi je te le conseille, c'est fièrement regarder juste autour de soi, on utilise des librairies, on utilise plein de choses qui sont peu poussées, d'aller déjà dans ces projets-là et regarder s'ils ont pas besoin de quelque chose. Déjà, on est sur un terrain qui nous a un peu familiers, ça permet déjà de limiter la source. Aujourd'hui, il y a des outils qui permettent de trouver des échoues sur le githem. Mais les moteurs de recherche sont jamais très bien. On évite, en fait, de confronter une vague énorme, il n'y a pas moyen vraiment de mettre des frics, des fixes très intéressantes. Alors il y a des fixes qui existent, comme les tags, on peut mettre des tags sur des échoues, mais il y a un tag qui s'appelle bootforsishoo. Pour dire, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que le mainteneur considère que ces nichoes seraient-elles qui est assez nouveau, à plein de niveaux, peut aller travailler dessus, et en plus, sur le chérasse, l'un d'accompagnement par les moteurs. Donc on a ça qui permet de filtrer, mais même à ce niveau-là, ça peut être contraigné. Donc c'est vrai que c'est pas simple de trouver. Donc aller sur ce qui nous est familier, ça peut être une bonne porte. Mais si on va sur ce qui nous est pas familier, justement, il faut faire attention quelque part à quel projet on a prévu, quel projet dans son show. Fierment, il y a plein de gens qui ont envie de faire des shows, c'est ce qui attache, des shows, des shows, des shows, mais si on creuse un petit peu, on compte qu'il y en a énormément, qui n'ont pas trop d'utilité, ou la seule utilité, c'est de permettre à la personne qui le fait d'expérimenter une même technologie, mais pas quelque chose qui va avoir une utilité communautaire. Donc des fois, il faut faire attention, c'est que vous allez avoir une issue, sur un lien ajouté telle technologie, et en fait, ça sert le projet, mais le projet sert pas à la communauté. Donc, il faut faire attention pour éviter des déceptions. C'est quoi que je coutrie d'un projet ? En fait, le projet, il ne servira pas plus qu'à faire une taux de liste pour quelqu'un. Et si c'est une vraie réalité, c'est pas juste un projet, c'est énormément de projets comme ça. Mais encore une fois, avec le côté, on a l'impression que le projet est sur le leader, donc c'est libre, c'est open source, et puis on peut trouver les potensions des nouvelles pépites qui sont cachées, mais il faut faire attention du quoi ça, si on a vraiment envie d'aller plus loin dans des contributions qui servent vraiment la communauté. Et ça rejoint un peu quelque chose que tu disais au début, c'est que quand tu vas contribuer sur un projet, en fait, tu n'es pas obligé de t'engager. Donc en fait, ça peut être OK aussi de faire des contributions un peu one shot comme ça. Il n'y a pas forcément besoin d'intervenir sur des projets au final qui vont révolutionner le monde. Ça peut être... Enfin, je pense que ça dépend peut-être de la démarche dans laquelle est-ce qu'on va faire cette contribution, j'imagine, et ce que c'est parce qu'on va s'attendre à avoir une certaine reconnaissance par rapport au travail qu'on fait, ou peut-être plus dans un objectif d'apprentissage, ou même simplement pour débloquer quelqu'un qui lui permet d'aller enceintes un peu plus rapidement. Alors, c'est vrai que, il ne faut pas non plus fermer, c'est que potentiellement, c'est une belle rencontre aussi avec quelqu'un, c'est potentiellement des échanges qui sont après, des opportunités de travailler avec quelqu'un. C'est juste que, voilà, ça dépend de la démarche dans laquelle on veut être. Pour nous permettre d'exercer, c'est toujours une bonne opportunité à prendre. Si c'est vraiment pour dire, je veux me sentir utile à la communauté, c'est vrai que c'est un rapport qui est plus compliqué. Après, tu parlais du côté un peu one-shot de la contribution, je l'ai contribué une fois un projet. Il n'y a pas de règles d'or, qui dirait que je dois m'accrocher à un projet, et que je fais que ce projet toute ma vie, ou alors je ne peux pas pionner un petit peu. Ce qu'il faut avoir conscience quand même, c'est qu'un projet, qu'une source, ça reste un projet, comme des projets qu'on entreprise, et des projets qu'on entreprise, il va être toujours besoin d'un peu de ne pas digue pour comprendre le projet à plein niveau, comment est structurel code, quelle règle des types est donnée en termes de bonne pratique du code, en termes de syntaxe, comment on va nommer les comites, on a même assez souvent sur des projets de plus en plus, les voies de vérifier le format des messages comites, et puis tout simplement à quoi il sert le code. Si on est sur un projet comme Say Press, et qu'il propose un dashboard pour faire des tests, des tests M2N, ou alors on est sur une petite hybréerie qui va faire un issu de chambu, le cadre fièrement fonctionnel est différent, donc il faut s'approprier aussi. Donc en fonction de ce qu'on veut faire sur le projet, il va être monté en compétences, ce qui peut être nécessaire, et qui fait qu'on doit investir du temps. Et forcément, si on reste sur un projet, peut-être que tout est une partie du temps qu'on investit, qu'on a, qu'il n'y a pas besoin de répéter chaque nouvelle contribution, on a un seul savoir qu'on a gardé, donc il peut être fini. Après, c'est des dévages complètement différents, moi j'ai connu un question qui s'amusait à s'aptentionner, parce que ça lui permettait aussi de découvrir plein de contextes. Et moi ça m'arrive assez souvent comme ça d'aller d'un projet à un autre, c'est parce que je découvre soit je découvre un projet et il faut qu'il y ait des choses qui peuvent être sympa et j'ai envie d'aider, soit parce que c'est quelque chose que j'utilise, et si à mon je vois il y a un problème, et du coup je repose d'aider, ou je repose d'aller faire quelque chose de ça. Donc c'est vraiment des marges qui sont vraiment différents. Mais c'est vrai que ça n'aide pas pour les mateneurs, pour revenir sur la question de Tunisien, mais comment faire pour attirer quelque part un nouveau mateneur dans un projet. Le mateneur du coup, c'est le chef d'orchestre, c'est lui qui indique un petit peu comment doit être prolé, c'est lui qui en gère maintenant, et c'est lui qui a des droits d'administration sur le projet. Donc l'idée d'ajouter un mateneur, c'est d'ajouter quelqu'un qui a aussi des droits particuliers sur le projet. Et donc qui fait que à moins que ce soit quelqu'un qui en travaille directement aux clients qu'on connaît, mais à un certain point, si à moins cette nouvelle personne n'a pas les droits, c'est un peu l'inconnu d'Internet. On ne sait pas qui est derrière, donc c'est une des parties qui rend compliquée le fait de frein de nos mateneurs, il faut trouver quelqu'un de confiance. Il faut trouver quelqu'un de confiance, et la meilleure indicateur pour cette confiance, c'est quelqu'un qui va construire une dernière hiérarchie hier. Le problème, il veut du bien ton projet. Donc t'envie t'envie de tout y occuper. Le problème c'est qu'il faut trouver ses personnes. Et on retrouve la première chose dans le noir, c'est qu'on a énormément de consommateurs d'open source, on a très très très peu de constributeurs. Une bonne partie en général des contributions sur un projet, c'est le mateneur. C'est à dire que le mateneur, il n'y a pas seulement ce rôle de chef d'arquise, il y a aussi ce rôle de constributeur directement au projet. Et finalement ça fait un peu écho à un point que tu as évoqué tout à l'heure. Si on cherche à contribuer activement à un projet, c'est que le fait d'être déjà utilisateur de ce projet ça va déjà enlever une grosse phase de recherche. Parce qu'on saura déjà comment le projet fonctionne, qu'est-ce qu'on en a tant, comment il se conduit. Et ça vous permet de te projeter plus facilement sur comment est-ce que tu peux le faire évoluer. J'ai quand même l'impression que le rôle de mainteneur et de contributeur, c'est quand même deux rôles qui sont totalement différents. J'avais évoqué un petit peu mais je n'ai pas poussé jusqu'au coup cette réflexion avec notre échange et que si je prends un projet qui est qui soit et que un contributeur fait une contribution via un comide, via la pour écho, c'est que ça va accepter. Ça devient la référence de la mainteneur derrière, si il y a un souci. Qui veut dire que si on a un projet en javas de frites et qu'on pourrait rajouter quelque chose qui serait super génial en plus, en reste dedans pour avoir de plus performants si le mainteneur est pas compétent à pas la disponibilité pour son compétent en-dessus il préféra qu'il y ait moins de performance mais qu'il soit capable de maintenir l'air parce que la partie en gros, en reste, ne marche plus demain. C'est sa responsabilité Donc c'est vrai que c'est là où il y a une différence, c'est vrai que la raison celle qui est sur le projet, que le contributeur perd après sa contribution, parce qu'il pourrait continuer à maintenir, c'est-à-dire que ce bloc-là, moi je l'ai fait et puis je m'assure de ça maintenant. Mais c'est que, il n'a pas de d'engagement sur ça. Donc c'est vrai que c'est là où se fait la grosse différence, c'est que le mainteneur ne marche pas de main, c'est lui le contributeur et il ne sera plus là pour plein de raisons du feu. Donc c'est vrai que c'est là où c'est vraiment la question de responsabilité sur ce projet qui est sûr. Même si encore une fois le mainteneur, il est souvent, il ne commence pas ça, le mainteneur est promis le contributeur du projet, c'est lui qui a quand même construit le pays. Donc il va y avoir une dernière contribution. Mais il y a moins, pour différents raisons, le mainteneur peut ne pas être constructeur direct. Soit parce que du coup il a moins de temps, il arrive à avoir beaucoup de contributeurs, soit parce que dans l'équipe de maintenance, il y a des gens aussi qui sont maintenant mettant pas un rôle technique, ça peut être l'équipe qui va gérer toute la partie des issues, va la priorisation et qui a un rôle beaucoup plus pour avoir un Scrum Master dans un projet open source. Du coup il faut là commencer à avoir plusieurs mainteneurs. Il est plutôt cool déjà de faire un open source, mais ça existe, on a des projets où il y a des personnes qui font du tri et qui n'ont pas le rôle de développeur dans un projet. Oui c'est un peu ce que tu disais plus tôt en fait. La contribution c'est pas uniquement technique, mais ça va être toute l'aide que tu vas pouvoir apporter au projet, soit effectivement technique ou peut-être au niveau du suivi du projet, de l'aspect un peu management, mais ça peut aussi se faire par le biais de faire la promotion de ce projet, peut-être d'animer des communautés, des discords, tout ça. Complètement, j'ai pas de source officielle, mais a priori il a été reconnu quand même que le succès de VGS en Chine est quand même assez directement lié au fait que la communauté ait créé une traduction en Chinois de la documentation sociale en VGS. C'est ça qui a beaucoup aidé du coup au succès. Et donc là on n'est même pas au fait d'aller t'alliter t'auclanter, d'aller créer de la documentation, de comprendre la pays. Et aujourd'hui on pourrait le faire du IA, et puis les conneriens à VGS, les conneriens à n'importe quel point de usage, j'ai pu faire plus de cette traduction. Et puis du coup il y a vraiment ce côté qui fait qu'il n'y aura pas eu ce même succès s'il y avait eu cette démarche communautaire qui permet d'aller aider. Et on peut avoir en recenseur de documentation, parce que la majorité de documentation sont écrites. Et c'est vrai que tout le monde n'a pas la même appétence sur la pédagogie, la même approche sur la pédagogie, certains préfèrent lire du contenu, certains préfèrent écouter. Et c'est vrai qu'aujourd'hui le succès et la promotion du contenu, ça fait aussi beaucoup avec votre place, avec le contenu vidéo, avec tout ce qui est communautaire. Et même si il reste écrit, des fois c'est une façon différente d'amener la chose et qui fait que ça permet de ne pas forcément de faire connaître, mais déjà de faciliter l'adhésion. C'est-à-dire qu'on n'a pas eu de découvertes, il y a un truc qui était cool, mais en plus on est capable de l'utiliser. On a un contenu qui me permet de comprendre personnellement à quoi ça sert, qui me permet personnellement de savoir comment utiliser et que ça marche. Parce que cette marche aussi qui marche, c'est très important. Moi je suis monirateur sur le serveur Discord officiel d'Anguère. Tous les jours on a des questions de personnes et c'est parce que des personnes testent des choses, des fois ça ne marche pas parce qu'elles n'ont pas encore une compréhension suffisante de ce qu'ils peuvent faire. Et puis, d'un moment, c'est vrai qu'on peut considérer que c'est une technologie, on n'arrive vraiment pas et qu'il n'y a rien, il n'y a aucune ressource, il n'y a pas de possibilité de continuer. Mais c'est humain, c'est normal. Si quelque chose ne marche pas, il y a d'autres opportunités de toute alternative et que là, elle marche elle, on va aller sur ces opportunités. Oui bien sûr. Il y a aussi quelque chose qu'on n'aurait pas de fois abordé, mais tu m'as dit que tu étais contributeur et mainteneur de plusieurs projets. Tu es aussi administrateur du Discord officiel d'Anguère. Tu es de manière générale, tu es très impliqué dans l'Open Source et j'ai l'impression de tout ce qui est communautaire. D'ailleurs, j'ai vu dans ton poste LinkedIn, je crois d'hier ou d'aujourd'hui, que d'après, Gitrol, c'est dans le top 1% au niveau de l'activité sur l'Open Source en France. C'était vraiment très très active. J'ai hésité, j'arrive à mettre mon doigt où il faut, mais hop. En dessous de mon prénom, il est marqué Frontaine Developer. J'ai hésité avec l'exemplarié des Frontaine Developer, mais c'est une prétention qui ne correspond pas du tout à ma personnalité. En tout cas, l'exemplarié Frontaine Developer, c'est ce que ma sœur, Gitrol, il faut y haut, donc Gitrol tout attaché qui sort des stats par rapport à ce qu'on fait sur l'Open Source. C'est la dernière nouveauté, donc tout le monde teste un petit peu sur les réseaux sociaux. C'est vrai que c'est sympa, c'est formidable. En plus, j'ai vu, c'est bien, ce qui sort vraiment tous les projets, toutes les contributions que j'ai pu faire. Et ça, oui, c'est... Je pense que... Alors, il faut dire déjà qu'on n'a pas besoin, en tant que développeur, de faire le peu de sources. Il ne faut pas se mettre la pression, c'est à dire qu'on est dans ces métiers passionnés, ou en partant des développeurs passionnés. Pourquoi ? Parce que c'est vrai qu'en fait, ça fait partie des métiers où on a l'opportunité de poursuivre l'aventure, en dehors de ce jour métro. Il y a des métiers, moi j'ai travaillé dans le ménagement à ban dans l'industrie. Quand j'ai filmé ma journée de travail, j'ai pas trop l'occasion de pouvoir continuer quelque part à l'aventure du travail. Et puis, ce n'est pas quelque chose forcément qui va me motiver, qui va me pourser un plaisir de dire, je peux faire 100 heures. Ça avec le développement, je vais faire un petit site perso, où je veux faire un template pour des petits sites persos, je peux le faire en dehors du travail. Et en tout cas, il y a une satisfaction derrière. C'est ce côté-là passion qu'on n'a qu'on ne peut pas voir, qui n'est pas nécessaire pour faire son travail, qui est comme tout. Puis on s'engage, puis on s'investit, puis on peut en retrouver des bénéfices, mais qui n'est pas nécessaire. Et l'open source, c'est pareil. Il n'y a pas besoin de faire l'open source pour être un développeur. C'est sûr que, vu qu'on dit sous l'open source, écreuser dans les technologies qu'on utilise, ça nous dit qu'on va prendre un mieux les utiliser. Ça va permettre potentiellement de contribuer un jour et d'en sortir meilleur. Mais c'est vrai que ce n'est pas nécessaire. C'est un choix. Et je pense que ça vient plus facilement qu'on a quelque part une fibre assez communautaire dans le côté aidé. Et c'est vrai que, avec le SOS tout à l'heure, c'est quelque part une dernière manière implicite, parce que c'est vrai que, moi, il y a peut-être une source. Il y a ce côté modérateur sur le forum Server Discord Officiel Angular. Il y a une chaîne YouTube qu'on anime avec la communauté sur Angular. Il y a des ateliers qu'on fait aussi sur Angular. Il y a bientôt une conférence qu'on fait sur Angular. Il n'y a pas fait l'angular. Il y a d'autres démarches aussi. Je fais passer des entre-quingelons à des développeurs. Je réponds à des demandes d'échange pour des gens qui sont en étude pour savoir ce que c'est, mais qui a une vraie journée de développeurs. Dans votre travail aussi, vous utilisez Git. Il n'y a pas de conférence, il n'y a pas de traquette. Il y a plein de moyens comme ça, de manière communautaire, des coups d'aider. Et après, je pense que ça dépend des personnes. Ce n'est pas dans leur film ou ça. Donc, dans le développement ou dans des plaisirs de personnes, je trouve aussi ce côté où j'aime bien les référents des gens. Je pense que c'est ça qui... Ça peut... Ce n'est pas une seule levier de motivation, mais ce n'est pas un levier assez important. Je vais rencontrer des gens, je vais aider sans forcément avoir aussi une besoin d'une carotte derrière. T'as soulevé un point qui est, je pense, très intéressant et très important. C'est que pour être bon dans le développement, ce n'est pas non plus obligatoire de contribuer activement ou pas sur de l'open source. C'est vrai que quand j'étais encore en école, ce qu'on me disait beaucoup, c'est que pour trouver un premier emploi limite, c'est un préroquis d'avoir un GitHub qui montre que tu es très active avec beaucoup de projets, beaucoup de contributions. Et en fait, effectivement, ça peut t'aider, mais ce n'est pas non plus un critère obligatoire. Et tu peux très bien faire une très belle carrière sans forcément contribuer. Il n'y a pas besoin de faire ça pour avoir une belle carrière et ne pas nous être derrière. Alors, sur ça, je dirais, moi, c'est très rare carcuteur. Ça ne m'est jamais arrivé carcuteur, on me dit, on a vu ton profil GitHub. Moi, ça m'était arrivé, j'avais fait une présentation dans une ancienne boîte où j'étais pour les gestons, pour les récruteurs pour expliquer ce qu'est un projet GitHub. C'est un peu d'écrité ça, mais je dirais que la majorité, même si ça ne se que ça existe, si ils ne sont pas capables d'écrité, il n'y a pas de format tel qu'on peut le voir sur des CV. Donc quand c'est déjà le peu de temps qu'il passe sur un CV, il n'aurait pas de temps d'écrité un profil GitHub. Pour moi, il ne faut pas chercher le... Il y a un rapport entre le temps qu'on va investir et l'apport que ça peut apporter pour la carrière en thème d'Open Source. Il peut être intéressant, mais il ne faut pas dire que c'est un priorité. Il y a des très belles histoires, des gens que je connais qui je travaille, qui ont des très belles histoires avec Open Source. Moi, je me dis que j'ai une belle histoire avec Open Source, mais il ne faut pas considérer ça comme un priorité. Il ne faut pas considérer que si on a un profil GitHub qui est très riche, ça va être utile. Il y a des cas où ça peut être utile. Moi, je suis principalement un développeur en quellard. J'ai réussi un entretien pour un poste React, alors que si tu as limité mon React, c'est faire un crude avec React. C'est tout ce que j'ai fait avec React. Et j'ai réussi un entretien pour approfossérer. Pourquoi ? Parce qu'on amite sur un poste, c'est toujours le nul. Une liste de compétences très longues, qu'il faut connaître. Il faut être expert. Si tu connais le front et le bas, c'est un plus. Il y a un spoiler alerte, il y a énormément de compétences sur lesquelles je ne pouvais pas... J'ai pas de situation professionnelle qui permettait de l'éviter. Mais, si vraiment, il y avait toute cette extense Open Source qui m'a aidé. Pourquoi ? Parce que le crude, je l'ai fait sur un projet que je m'attends, il y a 78000 stars. Et du coup, j'ai 4 000 requêtes d'API par mois. C'est ce front-clart en React qui sert d'interface pour cet API. J'ai eu une expérience qu'on en test-link. Encore, je n'étais pas déprécié, je m'étais amusé à faire un petit interface qui permet de créer le filtrier de configuration avec une interface en formule. En même temps, j'ai discuté avec un guy qui faisait la même chose pour le sync. Et puis, j'avais été voir son projet qui est en React, qui était avec le library style component qui permet de créer des composants à l'industrie directement. J'avais pu découvrir ça même si je l'avais jamais utilisé. Effectivement comme ça, avec les opportunités, la curiosité, on découvre des choses. C'est encore quelque chose qui était assez inconnu dans le temps de niveau angular. Il y a l'application React que j'avais faite, j'avais utilisé TASTA-COLI pour faire toute la paix partie de ce management. Et du coup, on a occasion d'y voir des choses qu'on peut aller valoriser. Des fois, c'est juste de la découvrir. Il y a des moments sur les entretiens, sur des échanges, sur des projets qu'on a besoin. À faire du lien, faire des connections sur ça. Il y a énormément de situations où l'open source m'a débloqué des choses. Même si j'ai l'appapp le profine GitHub est utile en lui-même, en tout cas, sur un côté carrière, il va être beaucoup plus utile qu'on va évoquer nos expériences d'entretien. Je pense que c'est là où mon arrive a débloqué des choses. Je ne chérie pas que de lui-même profine GitHub veut être un déclencheur de choses ailleurs. Effectivement, c'est normal. Je pense que ça ne parle pas forcément à des recouteurs. Tout simplement parce qu'on est sur deux métiers qui sont totalement différents. Encore une fois, je parle de mon côté DEF. Je pense que côté recouteurs, pour chercher un profil, tu vas plus te baser sur certains mots-clés pour t'assurer que par rapport à la file de poste qu'on va donner, le profil il est à quoi de correspondre. Mais derrière, techniquement, je ne pense que ce n'est pas le rôle du recouteur. Tu vois de savoir si ce profil est bon techniquement ou pas. C'est plutôt une préqualification. Ce que tu dis par rapport au contexte, personnellement, ce qui connecte beaucoup avec moi, c'est que pour essayer sur quoi que ce soit, je m'attache beaucoup au concept. Je pense que de manière générale, peu importe la technologie ou peu importe la stack sur laquelle t'habites à travailler au final, ce qui va vraiment compter, c'est les contextes sur lesquels tu vas intervenir. Le fait de pouvoir découvrir de nouveaux contextes, comme ça vers l'open source ou ton métier en général, tu vas pouvoir faire des connexions, faire des liens. Et derrière, c'est ça ce qui te permettra d'approfondir notre concept et de vraiment monter en compétences. C'est vraiment des compétences que tu vas pouvoir conserver, quelle que soit ta stack, quelle que soit ta techno et quelle que soit derrière le contexte dans lequel tu vas travailler. Parce que tu vas être en mesure de piocher à gauche, à droite, de voir ce qui marche, ce qui marche pas. Et en fait, c'est ça ce qui va vraiment construire ton expérience au final. C'est ça, c'est des compétences, ou des fois, tu n'as pas de valoriser directement un entretenant technique, mais si tu n'as pas de valoriser un entretenant technique, moi, je vois là dans mon post actuel, c'est après un fois que je me retrouve dans un contexte entreprise où on utilise GitHub, et donc on a tout la partie série avec les GitElection. GitElection, c'est quelque chose que j'avais eu l'occasion de découvrir, parce que tous mes projects open-course, ils étaient initiés avec GitElection. Donc, quand j'ai développé des projects open-source de GitElection, ça m'a même démarré le fait de donner des formations sur GitElection, et qui fait que pour après un fois, je m'arrêlais et je retomberai mon texte professionnel. Et là, je sais de quoi ça parle, je sais que je suis capable de faire, sans forcément partir de zéro. Ça ne veut pas dire que, il faut se former surtout une apporte de quoi, comme c'est en prévoit tout le cas, mais il y a toujours quelque chose à un moment qui va se dévoquer, la clinician d'une compétence, qu'elle soit avec l'open-source au même endroit, je me forme un truc, ça ne va pas forcément tout de suite être évidence, mais il y a forcément un moment où ça va se servir d'une façon ou d'une autre. Il ne faut pas en avoir peur en disant, « Ouais, mais je vais faire un truc et ça va se servir au projet, mais bon, qu'est-ce que j'en veux dire ? » Et à ce moment, ça fait des connexions techniques, mais même des connexions humaines, ça va être en contraire des gens, ça permet de découvrir des projets, d'aller contribuer aux projets. Je vais, si je peux, faire une place que j'ai faite dans une soingenit, qui a administré par InternetBaza, j'ai commencé à travailler au début sur sa version Fector, en Fector.js, aujourd'hui Fector.js est plus connu, mais du coup, il y a une variée, la Ngenit a aussi son projet, quand ça a clâté, tout le monde s'est dit « je vais faire le nouveau Fector. » Mais du coup, ça permet de découvrir comme ça, de rencontrer des gens aussi. Aujourd'hui, je suis le hasard, je suis le mainteneur principal de deux anciens projets, de personnes qui travaillent chez CITAGMIT, donc je suis un peu les types aussi derrière. J'ai fait une contribution, on parle de contribution non-technique, j'ai une contribution non-technique chez CITAGMIT, qui utilise quasiment tous les jours. Moi, CITAGMIT, je me suis dit « tiens, si je vais voir dans les échoues qu'ils ont, si je peux aller les genres. » Il y a pas mal de gens qui font des échoues, parce qu'ils ont leur projet CITAGMIT, et donc qu'ils ont besoin d'aide, sauf que c'est pas l'objectif de CITAGMIT. Si les gens ne savent pas utiliser, du coup, ça ne faut pas faire un évent decisionnaire sur un bouton sur un projet dans CITAGMIT, c'est pas ça qui vient de venir. Et puis, du coup, il devrait juste une échoue avec juste un titre, mon projet marche pas. Et en fait, ça peut être énormément, c'est des centaines et des centaines d'échoues ouvertes, et du coup, je fais une petite guide de BACTION, qui, s'il n'y a pas de rien dans le body de l'échoues, ça la ferme automatiquement, en laissant un petit message. On ferme parce qu'il n'y a pas de détails, et si vous voulez, vous aurez une grande détaille, elles ne sont jamais réouvertes. Il suffit que ça allait chiner normalement. C'est-à-dire que c'est quelque chose qui met quelques secondes à se déclencher, et qui fait que pour les mouteneurs, il n'y a pas cet effort de devoir réunir le truc pour s'en rendre que ça ne sert à rien, pour aller la fermer derrière et mettre un message. Ça peut vous dire réellement. Et puis, sur STABBIT, je n'ai pas été au sein, mais du coup, je pense que même l'effet dernier, je vois, c'est encore acquisé. Et, c'est pas du code, parce que c'est une guide de BACTION. C'est une connaissance que j'acquise quand même derrière, mais derrière, je n'ai pas refait STABBIT, je n'ai pas consumé directement sur les choses de STABBIT. C'est vrai que c'est assez sympa, que c'est vraiment tout ce qu'on peut faire comme ça, qui peut dévoquer des choses. Et tu vois, en parlant des compétences qu'on peut acquérir, ou même en trans, on abordait un peu le point de vue des compétences techniques qu'on peut acquérir, les rencontres qu'on peut faire. Mais je pense que tu as une autre compétence à mon sens qui est extrêmement importante dans le développement. On ne pense pas forcément et qui travaille. C'est tout simplement le fait de savoir expliquer un problème. Le fait de savoir expliquer un problème, ça veut aussi te demander de savoir faire abstraction des technos, du langage, du contexte, pour vraiment te concentrer pour l'isolo maximum, pour que derrière, les personnes puissent le reproduire, le communiquer. En fait, je pense que c'est une compétence, mais qui est un cheat code, je pense que ça a énormément de valeur, que ce soit au niveau du code, du pro, du perso, tout simplement parce que ça va te permettre de mieux se faire comprendre. Et même pour toi, je pense, je parle plus du côté technique, de pouvoir vraiment isoler ton problème pour pouvoir les séparer en plusieurs petits problèmes. En fait, c'est ce qui te permet derrière de pouvoir traiter n'importe quel problématique que tu rencontres au quotidien. J'aimerais bien voir ton avis là-dessus. Est-ce que le fait d'avoir des contributions dans l'open source qui vont te pousser à faire des échanges qui sont assez increones, c'est pas quelque chose qui va déjà renforcer cette compétence et te forcer tout simplement à la développer parce que sinon, tu n'auras pas des gens, tu n'auras pas de réponse. Il y a tellement de développeurs qui ne savent pas expliquer leur problème. Je le vois de sur GitHub et je le vois particulièrement sur les serveurs Discord. Qu'est-ce que ça veut dire si ça peut expliquer leur problème? Je me dis, il faut que je fasse un petit truc qui nous suit et on se pose sur YouTube. C'est-à-dire qu'ils ont un problème parce que leur code ne marche pas. Et puis voilà. Sauf que si à un moment, une fois qu'on aura fini de creuser, on s'en compte que le problème, c'est quoi? C'est pas que le projet qu'ils utilisent. C'est pas que la technologie qu'ils utilisent à un bug se peut arriver. C'est que leur façon de... leur compréhension fait qu'elles aient encore assez limité et qu'ils ont fait quelque chose qui ne va pas. Et même nous, ça peut nous arriver. Des fois, tu trouves dans un code. Moi, je vois que si je m'arrive encore quelques jours, on a les signaux à être en buieur maintenant. Je vais plus d'utiliser du coup les parenthèses pour avoir la valeur, à qui j'ai erreur. Voilà, pour un point de statue, on n'égrose pas d'antif signaux. Et puis, là, il faut aber. Ce niveau de compréhension, le fait de dire d'avoir rien qu'à voir les affaires, c'est de dire que je vais regarder le message d'erreur et je vais essayer de comprendre. Tout ne l'a pas. Et c'est vrai que ça amène à devoir réfléchir à ça. Et quand même, c'est-à-dire que je suis capable d'expliquer quelque chose, c'est comme une valeur qui est... comme ça, ça t'attend. En tout cas, il faut savoir expliquer quand un problème. Même sensation d'un problème, c'est de savoir expliquer quelque chose. C'est justement la problématique de la synchrone. La synchrone, on l'a dans l'open source, on l'a dans des forums, dans des discussions, qu'elle-qui soit, et on l'a de plus en plus entreprise. Et qui fait qu'un synchrone, ça veut dire quoi ? C'est qu'il se passe du temps entre le moment où vous mettez un message et le moment où vous l'élu et en plus au moment où vous l'éreffondez. Et qui fait qu'on ne peut pas avoir les small talks, déjà. Il n'y a rien à faire dans la synchrone que les gens qui vous disent bonjour. Quand vous vous répondez bonjour, il y a après qui vous demande si ça va, qui attendent que vous vous arrêtes quand vous dites oui, ça va, et pour dire merci. Et puis seulement, il y a 4-5 interactions avant de avoir la première phrase du problème. Et qui fait qu'on a synchrone, on ne peut pas se permettre ça dans la synchrone. Il faut qu'on ait une action d'information plus directe en psychique. Et qui fait qu'on parle d'open source avec cet effet en tournoi, qui fait que c'est compliqué si il faut qu'il y ait plein d'interactions. On peut dire que c'est sympa, c'est poli, on montre comment la personne va. Mais il y a un moment où il faut structurer information. On a l'avantage quand même d'un github, pour les mathenaires, on a plein de petits dossiers avec une github main-explicion. Que ce soit pour les open source ou même tout le monde, on a tout la CIA qui permet de mettre des contrôles, qui qui ont une paire, on va s'assurer que le format va bien, on a du précieur, on a du lessen, on a plein de choses pour faire. Et puis en fait on peut mettre des templates aussi sur les issues. Quand quelqu'un ouvre une issue, on peut aller jusqu'à la... Elle va remplir l'issue sur un de formuleurs, en lequel on va lui dire, bah voilà, explique ce qui se passe. C'est un message de l'or tu le mets, si tu es capable de le reproduire, si le morceau de quoi tu ne veux pas, plein de détails. Est-ce que c'est sur une version particulière du projet, est-ce que c'est sur un scope précis du projet, la documentation, la pays, sur plein de choses, et qui permet déjà, bah quand le mathenaires, il va redécouvir ça, il y a toutes les informations disponibles, et là on peut parler. Là on a de la matière. Mais c'est vrai que sinon, c'est compliqué, c'est souvent aussi une déprématique qui fait que, maintenant des fois on n'a pas le temps de répondre à tous les solides, parce qu'il y a ce côté à Saint-Croombre, ça ne peut pas y aller longtemps. Mais c'est une vraie compétence. On n'accarpe pas que de la compétence technique pure directement à construire sur l'open source, parce qu'on travaille avec les humains. C'est pour ça que c'est intéressant, je disais, sur le côté, pour travailler techniquement sur le projet, c'est pour fronter un vrai projet avec des vraies problématiques. Il y a aussi tout ce côté humain qu'on a derrière. Pour quelqu'un, c'est peut-être la façon qui a encore les sujets. Je dirais que je ne dirais pas pour poser une trahie sur des projets plus différents. Je me pose une question. Franchement, je suis admiratif de voir à quel point tu es actif sur ces différents projets. Justement, le fait que tu sois actif sur plein de canons différents, plein de projets, j'imagine que c'est quelque chose qui me demande du temps. Comment est-ce que tu fais pour t'organiser ? Est-ce que tu as une semaine type, une journée type ? Non, les semaines sont pas petites justement. Elles étaient si favorites, mais elles ne sont plus. Comme beaucoup de maintenant, il y a le Bernard qui est passé pas très loin. Comme les incosctets communautaires, on veut faire plaisir aux gens. Et puis au plus un moment, les crocs sont contre son propre biais. Et c'est ce que j'ai de début. Comme c'est sur le temps libre, ça vient en concurrence avec plein de choses à coster. Et l'objet qui, c'est pas de divorcer toutes les trois scuilles. Parce qu'on a plus temps pour la personne avec qui on partage. Donc il faut trouver son équilibre. Ce n'est pas simple, c'est vrai qu'on a envie d'aider, on a envie que le projet avance. Mais il y a un moment où il faut savoir dire, que le projet avance à un rythme qui doit avancer. En particulier quand il n'y a pas d'enjeu financier, dans le sens où il n'y a personne qui finance le projet. À partir de là, honnêtement, tant pis que les gens ne sont pas contents. Souvent, je pense que l'un des ceux qui ouvrent le plus sa bouche à ce niveau-là, c'est Vanu, ou est Vanu, le créateur de BGS. Et au temps en temps, ils partagent comme ça des messages de personnes sur les projets. Et tu sens qu'il a juste envie de les insulter. Parce que les gens ne seront pas compte de l'énergie derrière pour maintenir le projet. C'est ça et on ne peut pas tout gérer. Et puis, oui, comme c'est sur les sons perso. L'objectif, c'est pas non plus de dire, quelque part, qu'on faut faire attention, parce qu'on peut donner l'image. Le mec commence son projet, est-ce qu'il est sincère, et puis l'abandonne, et puis on l'utilise. Donc, on peut dire, mais l'autorité, comment les gens vont me voir, il faut que je dise que c'est quelque chose qu'on a fait sur le temps personnel, que les gens consomment, sur lesquels coûte très peu. Moi, je sais que j'ai des projets, mon projet le plus gros, c'est RevolWord. C'est pas un projet que j'ai créé, c'est un projet sur lequel je suis arrivé en maintenance. Il n'y avait plus personne dessus. J'ai eu l'opportunité du coup de devenir maintenant. C'est un projet qui a été créé par les créateurs du Costa 8, avant qu'il crée la Costa 8. C'est un projet qui expose des spécifications pour faire une application assez simple de blogs. Les gens peuvent contribuer en proposant les impréventations de ces spécifications dans n'importe l'engage, en flamante, en bac, en full stack. Donc, ça paraît même montrer sur une belle, même base fonctionnelle ce qu'on peut faire, mieux probablement de l'exécution de technologie. Stack, c'est un projet que j'ai récupéré il y a quelques années maintenant, sur lequel j'avais envie de faire plein d'évolutions, et sur lequel j'ai été prouvé très peu, parce qu'il y a plein de choses à côté. Il faut savoir sauver le gardeur sur le temps. Les priorités peuvent dépendre de plein de choses, mais il faut faire attention au temps qu'on y investisse aussi, parce que, bien souvent, c'est que du temps gratuit. Quand il y a de l'argent qui arrive, des fois, ça permet de nébloquer du temps, parce que de se dire, je vais trouver un boulot à 4, 5e par exemple, parce que je vais dire qu'il y a une journée, mais quelque part que j'arrive à faire en ça avec Open Source. Je permets de continuer cette démarche qu'on envie. Donc il y a ces possibilités-là, mais il faut faire attention à son temps. Il n'y a pas de journée type, il y a des semaines, il y a des mois, des fois sans Open Source, il y a des démarches complètement différentes, et puis ça vient comme ça vient. Il n'y a pas d'exemple type, il n'y a pas d'exemple à suivre, d'exemple à suivre, c'est sa santé personnelle, des faits qui font du plus. Je pense que de manière générale, le fait d'apprendre à savoir dire non, c'est une vraie compétence, qui est très importante, et auquel on n'est pas forcément habitué, c'est quelque chose qui vous pourrait être très très compliqué à mettre en place, et pourtant, c'est aussi essentiel, que ce soit côté pro, côté perso, il y a vraiment même dans le développement classique, tout simplement, de ne pas dire oui à tout. J'ai l'impression que c'est d'autant plus le cas comme ça, dans un contexte d'Open Source, ou t'as aussi besoin de savoir dire non, de savoir prendre un certain détachement, parce que au final, sinon, ça peut être bouffé totalement. Oui, parce que ce soit en prenant la base de l'Open Source, en fait, pas savoir dire non, et y investir du temps, c'est-à-dire que le temps qui investit, ça devient le standard du temps que tu peux y investir. Si tu commences à investir 80 par jour, pendant une période très très longue, et on conclure, c'est vrai que 4 heures par jour, c'est le travail que tu vas faire tout le temps, à-dessus, et c'est pareil côté Boulot. C'est un moindre de passer 4 heures en général, par jour, sur la travaillée. Mais si tu commences à te dire, tiens, en fait, je vous le dis, tu n'auras bien travaillé de 20 heures à 2 heures du matin sur les projets. En fait, le temps que tu vas passer, c'est pas ça qui va te le standard, le temps que tu vas... Le standard, c'est la quantité de travail que tu vas faire. C'est pas qui visite. Donc, si tu commences à faire des doubles journées, le jour où tu vas au cinéma soir, les gens, le lendemain, ils vont faire tiens, mais en fait, le gars, il va être avec la moitié de la journée. Que la quantité que tu as faite, le boot, le boot, fiamment, le livrab, du coup, il est beaucoup moins à fond. Alors que fiamment, tu aurais fait au moins une vraie journée de travail. C'est pour ça que le nid renonce, c'est aussi ça, à ce niveau-là, c'est de se dire que ça se serait qu'il était en capacité avec les moyens de leur mot. Parce que justement, au bout d'un moment, moi, j'ai eu un entreprise dans une situation professionnelle, mais quand j'étais plus jeune, on voulait voir. Au début, on ne sait pas dire non, on ne savait c'était un peu plus. On travaille une, deux heures en plus par jour, et puis, à un moment où on travaille un peu moins, on ne travaille plus. Non, en fait, je ne travaille plus que ma journée de travail. Oui, mais je vais en parler, on aurait trouvé des questions. C'est ça, c'est pour ça que je fais attention à l'engagement qu'on peut prendre. C'est ce que l'idée est, il n'y a pas de secret. Plus on s'adresse, plus on va prendre, plus on va être performant, mais il faut mettre le bon cadre en ce cas. Un cadre qui soit bon par rapport à l'image mondone, par rapport à nos capacités, par rapport à qui ce qu'on peut faire aussi à côté. Il ne faut pas oublier d'aller chercher son enfant à l'école, parce qu'il y a un... parce qu'il y a des espèces, il y a des gâtes, il y a un contre-quiquien, c'est un peu la source qui a demandé de l'aide. Non, non, à chercher votre enfant avant, et puis, d'ailleurs, vous, vous verrez. Mais non, il faut trouver le qui, c'est très important. Et tu vois, à ce niveau, je crois qu'on n'a pas cette culture en France, mais il me semble que dans d'autres pays, et notamment en Royaume-Uni, il n'y a pas du tout cette culture de faire des airs supp, parce qu'en fait, c'est quelque chose qui est très mal vu. C'est très mal vu, parce qu'en fait, là-bas, il ne se base pas sur le présentisme. Et en fait, la façon dont on s'est perçu, c'est plus que, si tu as besoin de faire des airs supplémentaires, c'est que tu n'as pas été assez efficace pendant ton temps de travail alloué normalement, et du coup, c'est que tu n'es pas assez compétent. Alors que j'ai l'impression qu'en France, on est plutôt dans une culture où, mais tiens, il faut que tu fasses un nombre d'heures, et derrière, on va plus faire attention à ta présence, en fait, plutôt qu'à l'impact que tu as eu, ou à la quantité de travail, on va dire que tu as pu abattre peu importe le temps donné. La c'est le cas au Canada aussi. Je suis moins amusé, mais au Canada, je sais que c'est le cas. Et qui fait que nous, on n'a plus de chaine de marche en disant, c'est ce qui compte, c'est l'épiler le plus. Alors que dans le sens, c'est de se dire comment on fait pour organiser les journées pour que le travail soit fait. Et donc, ayant moins, si la journée n'est pas suffisante, c'est là qu'on va voir, potentiellement, à recruter des personnes aussi, c'est normal. Dans ce sens, c'est un projet de dire qu'on n'a pas suffisamment de personnes pour faire le travail, il faut des personnes plus. C'est ce que je veux dire, finissez à minuit, comme ça, on peut finir le travail. C'est pas viable. Ces dernières années, t'as été très actif, dans l'Open Source, t'as énormément contribué. Est-ce que comme ça, t'auras en tête peut-être une contribution dont t'as été particulièrement fier ? Je dirais que peut-être déjà la première, parce qu'on se dit, ça y est, on va dedans, là, tout le monde se compte. Après, je pense que ça dépend. Cette première, ça dépend quand on la fait. Moi, je l'ai fait, je sortais quelques mois de bootcamp, j'ai fait une recommence sur 9 mois. Je ne savais pas faire de bon chose, enfin, je savais pas faire de bon chose, mais il y a énormément qui étaient devant moi. C'est l'opportunité. En plus, c'était sur un projet d'ingéant gulat, on a dû en en dire, on se met de pression aussi, on fait. C'est cool, parce que ça permet de rencontrer des gens aussi, des gens qui sont inaccessibles aussi. C'est vrai qu'il a synchro, il ne sait pas, parce que moi, j'ai décidé de faire du open source à 5h du matin et l'autre à mini, parce que si à 4h du matin, il s'était mini, c'est passer des personnes qui ne sont pas forcément sur l'épisode horaire. Moi, je travaillais à des moments avec des gens qui étaient chacun sur leur continent, avec des horaires différents, et des cultures aussi différentes, c'est ça qui est assez intéressant. Mais une, c'est particulièrement chière, si je pense que c'est edit in place, l'ingénie, c'est le projet. Le projet, du coup, ce projet de dire, on a des briques techniques qui permettent de faire un switch entre l'affichage d'un champ formulaire, l'affichage du texte, si vous voulez se penser à valeur. Ce qui est clair pourquoi, parce que c'est un projet que j'ai fait en 2019, je crois, donc un peu plus d'un an après que j'ai fini ma formation, j'étais déjà un développeur, là, c'est une opportunité qui arrive à moi, avec Nétenez Basel, comme qui a séconné dans la technique, dans la comédie, là, qui fait du code très propre. Et pour sortir, fièrement, quand j'ai livré, il m'a félicité en me disant, j'ai l'impression de lire du code que j'aurais écrit. Donc là, tout de suite, quand il y a un cadeau, il a, d'ailleurs, il a serré, je m'étais inspiré du code qu'il avait écrit, et qui quelque part était aussi une très bonne chose. C'est-à-dire que l'objectif qu'on contribue en projet, c'est d'adapter au code du projet, parce que c'est le maintenant qui est le matériel. Si le maintenant, il a décidé que quand on fait des déboucles sur un arrêt en javascript, on le dit, il faut riche, plutôt fort, fort up, il faut s'adapter à ça, même si, pour nous, c'est une pratique où il n'y a pas d'un chose, il faut que le code soit consistant, il faut bien un biais à la chose. Et du coup, je pense que c'est ça, c'est que, il y a ce côté félicitation, du coup, d'avoir une certaine fierté par rapport à la personne qui a dit, je te remercie par rapport à l'unification que j'ai rajoutée. Et moi, j'ai découvert énormément de choses. En fait, c'est vraiment une prêque technique avec aucun HTML, j'ai acheté des métiers dedans, c'est du NG template, et du NG TechnoG container. En fait, ça ne l'expose pas, un champ de formuleurs en matériel, ou un prime-ng, ou n'importe quoi, c'est vraiment, c'est un ensemble, c'est 12 directives. Alors, 12 directives, il n'y a pas besoin d'autant de directives, donc il y a 10 directives, ce qui permet de gérer plein de cas. On veut changer un seul champ, on veut changer un ensemble de champs, changer des gens qui sont dans l'infamulaire, on veut gérer aussi le fait que est-ce que la valeur change ou pas, qu'on passe d'un état à l'autre. Et du coup, c'est plein de directives, et moi, ça m'a permis, en fait, à ce stade-là, de me rendre compte de toute la puissance, c'est vraiment de l'arbre d'injection dans le camp de l'art, avec des directives qui communiquent entre elles, juste parce qu'il y a les nudes, qui enfant de l'autre de part sa position d'entendu. Et j'ai appris énormément, moi, à l'époque, les directives, l'injection, c'était juste pour mettre des services, et puis voilà, les directives, c'était pareil, c'est celle qu'on proposait, les piémon angulaire, on crée moi-même. L'exemple des directives qu'on a quand on découvre un angulaire, un directif custom, c'est changer un texte en rouge. Ouais. Le cas fonctionnel, il peut en trouver un, le cas fonctionnel, c'est que c'est très sponité, et que c'est une approche qui est assez limitée, c'est ça que ça fait déjà des années que c'est le délire, c'est le délire que je me dis, il faudrait que je crée un petit point, et qu'il y ait du coup tout ce cas, un usage qui est assez intéressant, justement, c'est-à-dire, justement, juste pour switcher entre deux trucs. On a une dizaine de directives qui permettent d'aller faire de la composition derrière, sur pas mal de choses. Donc, c'est là où c'est intéressant, ça permet justement de découvrir des choses qu'on ne fait pas forcément en milieu professionnel. Et tu vois, ça me fait penser à un point que tu as déjà évoqué tout à l'heure, mais c'est le fait de savoir s'adapter au projet. je pense que c'est quelque chose qui est très important de savoir faire au fur et à mesure sa carrière, en fait, parce que, même quand tu vas arriver sur un projet, il faut que tes développements puissent s'adapter au contexte de l'équipe, à leur niveau de connaissance. Et bien sûr, même si, à chaque fois que je vais faire ton maximum, pour avoir la solution, la piscificace, la plus performante, et sous différents aspects, il faut aussi garder en tête que, je pense, tu ne vas jamais intervenir à l'vitame étername sur ce projet, et à un moment, tu seras amené à partir. Et, donc là, dans le cadre de l'open source, c'est peut-être beaucoup plus court, mais, ça reste quand même une compétence qui me semble très importante de savoir prendre suffisamment de recul pour trouver en fait le juste milieu entre la valeur que tu peux apporter avec des alovements, mais en t'adaptant, quand même, au contexte du projet sur lequel tu vas travailler. Parce que, si demain, tu étais amené à partir, ou tout simplement que tu étais malade, et que tu as mis en place plein, enfin, que tu as mis en place des actions sur ce projet, mais que le reste de l'équipe, ou les autres membres ne sont pas en mesure de comprendre, d'appliquer et de suivre la même logique, en fait, c'est quelque chose, au final, qui peut complexifier le projet, et qui, à long terme, ne pourra pas rentrer en ne quoi. Donc, c'est vraiment quelque chose d'important, gardant tête. Il y a aussi la façon d'organiser l'état, et de s'organiser soi-même. Aujourd'hui, j'ai une contribution à faire sur un projet, et, par exemple, je connais l'exemple les fourrines, les fourroves, il y a une façon qui est plus optimisée que l'autre. Bah, même si j'utilise la main optimisée, même si celle du projet, c'est à moi, l'optimisée, si, à un moment, je dois faire une contribution qui doit faire, on boucle sur quelque chose, j'utilise celle du projet. Par contre, ça ne veut pas dire qu'il faut que le projet reste moins performant, mais il faut s'organiser en disant qu'il y a une contribution ou je vais utiliser la boucle. Et, par contre, si il y a une contribution, si je dois changer du code pour dire que je vais changer de boucle, c'est une contribution à part, comme dans un projet, l'idée c'est que derrière aussi, la meilleure façon d'explorer un projet, est de comprendre comment il fonctionne aussi, c'est de voir son versioning, de voir les comises, de voir ce qui s'est passé, il faut que ça reste propre. On ne va pas faire dans un comite, on va mettre un scope qui reste assez limité pour être compris, et on ne va pas faire des choses entreluissantes pour faire autant du changement de HTML, du changement de la CIA, des tests sans plus et plein de choses, sur différents scopes, différents, différents de future. Et donc, ça apprend aussi à s'organiser, à se mettre des mythes. Moi, j'ai appris énormément un du projet que j'ai récupéré en maintenance aujourd'hui, qui est un projet de Dominicaine, qui est aussi de Statix, qui est un gidergula. Et quand j'ai proposé de reprendre un projet, il me fait « oui, je suis assez exigeant, je suis habillé, je sais. Un des premiers projets sur lesquels j'avais contribué, c'était ce projet-là, du coup, j'ai commencé à contribuer en train de comprendre, il y a des années, en attendant, je me suis dit « oui, je sais, je suis sorti d'école, un gars qui te fait un coup, qui fait mes messages de comites, qui sait très bien si je suis un format, et qu'en plus, si je suis le format que moi, j'utilise, ça apprend énormément, c'est super cool. Donc, ça t'impose. Tous les projets se sont repas, il y a des projets qui ont des exigences à différents niveaux, mais ça permet d'apprendre énormément à des fois quand tu es enfermé sur des projets où il y a qui ne peut pas explorer, qui sont assez fermés, ça permet d'aller beaucoup plus loin, c'est super intéressant. On a pas mal échangé, et j'aurai une dernière question pour toi, Jérôme. Imaginons que demain, tu te rencontres quelqu'un qui souhaite commencer à contribuer, qui souhaite commencer à être actif sur des projets open source. Est-ce que tu aurais des conseils à lui donner ou peut-être des ressources à partager ? Alors, en ressources d'aller sur GitHub, on t'apprend, sur GitHub Open Source, sur Google, j'ai plus une direction, ils ont des guides sur Open Source, à tout niveau, comment contribuer, comment maintenir, et c'est quelque chose en plus, qui a été fait avec la communauté, ce qui est même des situations de maintenant assez connues dans les enseignements, qui sont vraiment très bien faites. Le conseil que j'avais donné, c'est plus facilement à l'arrivée sur des choses qu'on connaît un petit peu. Alors, ce n'est pas forcément par facilité sur l'engagement, mais c'est parce que c'est des choses où on voit déjà l'utilité. C'est plus facile de gérer. Et parce que c'est vrai qu'encore aujourd'hui, même si il y a des sites de recherche, des choses qui aident pour trouver des issues, on tombe face à l'océan et c'est compliqué de trouver la bonne opportunité. Je sais que quand on s'est arrivé du coup d'aller chercher comme ça dans l'absolu, c'est mes premières contributions à Octoberfest. Octoberfest, c'est un événement connu pour promouvoir le Le Pen Source qui est bien et pas bien. Ce que ça permet de promouvoir qui est pas bien, parce que en fait c'est quelque chose, même s'il est plus mesuré aujourd'hui, c'est quelque chose qui est fait par un organisateur 100 tiers à tous les projets Le Pen Source. Et donc, il fait que ça mène un couple à deux contributeurs, c'est bien mais il faut que l'on soit tout à l'heure en bonne bonne. C'est ce qui rend un peu le compliqué à chose, les projets ne sont pas forcément prêts à chaque fois, ils n'ont pas forcément envie d'avoir tout ce fruit qui arrive d'un coup. Et donc, j'ai contribué à détruire les diverses arrives parce que je me suis dit, il faut que je fasse mes contributions. J'ai même contribué du coup à un rénu sur la documentation pour une organisation gouvernementale aux États-Unis qui avait un projet de consorce sur Uniteur et il y a de tout, entre deux tout sur Uniteur. mais derrière vous savez pour se dire tiens, j'ai vu ce que c'était ça peut être bien, après c'est mieux de se mettre un petit peu des frais en disant, bah je vais dans quelque chose sur lequel je sais que c'est intéressant, je sais que ça va être utile ça permet du coup de dire, bah moi j'ai fait quelque chose sympa et qui fait que ma première contribution peut être sure, ce sera peut-être pas demain, il ne faut pas faire un son, se mettre à pression en disant il faut que je fasse ça et puis c'est là qu'on va pas forcément trouver les supportes unités, elles peuvent arriver parce qu'on va découper une technologie, on va s'intéresser sur la documentation alors j'ai peut-être réouvri à la communauté ce que j'ai trouvé du temps dessus et une dernière contribution, du coup sur un projet sur lequel je n'ai pas encore contribué c'est analogies, qui est un métal amortif en Dula et qui a sa documentation en docusaurus qui est un projet réel et l'idée c'est de se dire pourquoi pas faire la passion d'analogies et donc c'est de commencer par étape la première étape, et on peut faire un overload page et du coup, il y a une issue qui veut qu'il y soit, il faudrait qu'on fasse ça mais il faut qu'on fasse ça et si quelqu'un veut le faire, il peut prendre une issue ou quoi, il peut prendre la responsabilité sur la contribution mais c'est pas vrai, c'est une chose comme ça qui arrive et puis on dit bah hop, on y va pour qu'on pas et on va aider le projet il n'y a pas besoin de se dire là c'est, je ne vais pas contrer la pays je ne vais pas rajouter de fonctionnalité et juste qu'on va rendre l'expérience de la documentation différente pour les étudiants moi ce qui m'a fait énormément monter en compétence pas à un point rambulant parce que j'ai envie de monter en compétence au cas de l'ambulance c'est de me dire écoute, à partir d'aujourd'hui tu réponds aux questions sur Stack Overflow tu réponds aux questions sur l'inconsum de l'ambulance d'inconsum d'hier, aujourd'hui je suis modérateur je suis passé par différents rôles mais au début j'étais juste quelqu'un qui s'infrit qui s'est connecté sur l'inconsum d'hier et je m'étais dit je réponds aux questions des gens mais 4,5% des questions je n'avais pas la réponse avant de vendre les questions en fait, l'idée c'est de me dire voilà, je vais apprendre comme le peu de fois vous en êtes en tant qu'encontrement je vais prendre des cas que je connais pas alors que je connais pas pour différents trésors soit parce que je suis assez jeune et que je connais pas, c'était le cas, je ne connaissais pas suffisamment technologie, soit parce que c'est des cas un peu spécifiques et sur lesquels j'ai pas le cas pour l'entreprise ou sur un projet à moi et donc d'aller comme ça et même aujourd'hui encore ça m'arrive quand je réponds aux questions d'aller chercher la réponse sur l'ambulance et bah j'apprends des choses en même temps j'apprends des choses parce que non pas parce que j'ai eu la question que je trouvais à la réponse mais parce que j'ai fait cet effort d'aller chercher la réponse, de m'intéresser au cas, de voir exactement comment il répond et du coup d'apprendre plus que de juste dire toute la plus de conversation en régulant en me disant c'est bon, j'ai eu, j'ai appris je sais pas cette mémoire photographique donc c'est un très bon moyen ça vous aidez quelqu'un vous vous êtes édite au même c'est ce qu'on dit sur les méthodes d'apprentissage le meilleur moyen d'apprendre c'est finalement d'enseigner, soigne et donc en étant dans ces démarches je prends une question et je fais récon on peut se tromper sur le chemin, ça arrive, on se trompe plein de fois puis on rebondit, on va rechercher d'autres choses mais ça permet d'aller à la pointe d'apprendre moi j'ai un nombre hallucinant de projets sur Stagbiz parce que je testais des choses pour répondre au genre il y a un problème, je ouvre je crains un projet Stagbiz, je fais le petit truc et puis ça marche et puis je le donne en réponse et du coup j'ai des centaines de projets sur Stagbiz, mais sur des petits trucs des fois c'est vraiment une petite intêque dans un coin Superbe, merci beaucoup pour ces conseils Jérôme est-ce que tu aurais des sites ou des réseaux sur lesquels on pourrait te retrouver, sur quel tu partages du contenu ou des choses que tu aimerais mettre en avant Ouais je vais repartir je vais repartir de ça, en tout cas pour ceux qui aiment découvrir Angular ou s'enseigner du coup on a une chaîne YouTube avec quelques personnes qui fait fièrement des formats meetups mais en ligne comme ça on peut pas tout le monde pouvoir profiter de ça ça va voir là il faut que je t'indigne bientôt d'ailleurs qu'on s'est changé d'administration Jérick principalement aujourd'hui c'est ça, si vous voulez me trouver rapidement ces cours vous voulez participer à la communauté Angers on a le discord officiel on a aujourd'hui 40 000 personnes qui sont là pour échanger sur des découvertes pour poser des questions et là aussi on peut aider c'est partie des moyens de pouvoir contrôler vous trouverez tous les liens pour pouvoir retrouver Jérôme en description Jérôme merci beaucoup pour ces échanges c'était super intéressant j'ai appris beaucoup de choses même pas rapport Hello Point Tour sont générales et je te remercie pour ça t'as dit à bientôt salut